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Reportage sur les Kung-Fu nonnes (66)

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 0000-00-00 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2018-04-24 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». Deux nonnes s'activent а la prйparation d'un йchaffaudage qui sera utilisй pour

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». Les nonnes possиdent et gиrent leur propre йpicerie, une librairie, une cafйtйra

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». Plusieurs fois par semaines, les nonnes s'entrainent au vйlo. En 2016, les nonne

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». C'est sa saintetй le Gyalwang Drukpa, militant йcologiste, dйfenseur des droits

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2018-04-24 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2018-04-24 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2018-04-24 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2018-04-24 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2018-04-24 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2018-04-24 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». Le couvent Druk Amitabha est situй dans la banlieue de Katmandou. Environ 400 no

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». Une nonne en pleine conversation avec Jigme, le perroquet de la nonnerie. EXCLUS

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2018-04-23 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». La "puja" dure en gйnйral 2 heures oщ les nonnes chantent et mйditent. EXCLUSIVE

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». Portrait de Jigme Tsela, 9 ans, la plus jeune nonne du couvent. EXCLUSIVE **Spe

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». Les nonnes apprennent de nombreuses compйtences qui traditionnellement ne sont r

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ? L’avenir et la reconstruction du Nйpal sont paradoxalement entre leurs mains.   EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Le ballet des camions arrivant et chargeant les cargaisons de briques pour livrer les 4 coins du pays est incessant. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ?

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Hormis la fatigue due aux charges colossales transportйes, les problиmes de santй dus а l’environnement extrкmement polluй et poussiйreux sont frйquents. Il n’y a par ailleurs sur le lieu ni eau potable, ni toilettes, rendant les conditions encore plus spartiates. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Hormis la fatigue due aux charges colossales transportйes, les problиmes de santй dus а l’environnement extrкmement polluй et poussiйreux sont frйquents. Il n’y a par ailleurs sur le lieu ni eau potable, ni toilettes, rendant les conditions encore plus spartiates. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ? L’avenir et la reconstruction du Nйpal sont paradoxalement entre leurs mains.   EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Salina (7 ans), Saruj (10 ans) et Sarvatm (11 ans) font une courte pause. Ils vivent pendant 6 mois avec leur petite sњur de 3 ans et leurs parents dans cet espace rйduit oщ l’on peut а peine tenir debout. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapide

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ? L’avenir et la reconstruction du Nйpal sont paradoxalement entre leurs mains.   EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ? L’avenir et la reconstruction du Nйpal sont paradoxalement entre leurs mains.   EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Salina, 7 ans, apporte sa pierre а l’йdifice pour augmenter le revenu familial. Environ 60 000 enfants travaillent dans ces usines. Non scolarisйs, une grande partie d’entre eux travaillent pour aider leurs parents. D’autre viennent seuls, йtant orphelins ou laissйs pour compte. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Na

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Il n’y a pas d’horaire de travail officiel, les ouvriers s’exйcutant jusqu’а qu’ils soient trop fatiguйs pour continuer. La majoritй travaille du lever au coucher du soleil, et certains peuvent travailler jusqu’а 16 heures par jour. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’u

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ? L’avenir et la reconstruction du Nйpal sont paradoxalement entre leurs mains.   EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Malgrй des salaires dйrisoires, des conditions de travail dйplorables, ces hommes, ces femmes et ces enfants tiennent en leurs main l’avenir du Nйpal. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qu

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Chaque brique pиse 4kg. Les ouvriers peuvent porter jusqu’а 100 kilos par trajet et font entre 150 et 200 trajets par jour. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhu

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ? L’avenir et la reconstruction du Nйpal sont paradoxalement entre leurs mains.   EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ? L’avenir et la reconstruction du Nйpal sont paradoxalement entre leurs mains.   EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Plus de 200 000 personnes travaillent dans ces usines а ciel ouvert. La plupart de ces ouvriers sont des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui partent travailler et vivre pendant 6 mois sur les lieux de production. Une grande partie d’entre eux sont des migrants du nord de l’Inde. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Une des seuls court moment de rйpit de la journйe : la venue du glacier. Vivant sur place et n’ayant pas le temps d’aller au marchй, les vendeurs ambulants passent de temps а autre pour vendre leurs produits aux ouvriers. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Une des seuls court moment de rйpit de la journйe : la venue du glacier. Vivant sur place et n’ayant pas le temps d’aller au marchй, les vendeurs ambulants passent de temps а autre pour vendre leurs produits aux ouvriers. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. On compte environ 500 usines de briques dans la vallйe de Katmandou. C’est ici en partie que le Nйpal se reconstruit suite au tremblement de terre de 2015. Tournant а plein rйgime, leurs cheminйes sont une des raisons qui font de Katmandou la 7иme ville la plus polluйe au monde. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Na

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Pendant de longues heures accroupie sous le soleil, une femme moule des briques et les fait sйcher au soleil. Elles seront ensuite transportйes dans les fours pour la cuisson. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ? L’avenir et la reconstruction du Nйpal sont paradoxalement entre leurs mains.   EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Les patrons des usines ne sont jamais loin et veillent а ce que les ouvriers soient les plus productifs possible. Donnant des avances financiиres aux ouvriers au dйbut de la saison, ceux-ci sont constamment sous pression car s’ils ne peuvent rembourser leur avance, ils sont contraints de revenir la saison suivante. C’est un cercle vicieux dans lequel certains travailleurs sont pris au piиge depuis des dizaines d’annйes. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Les patrons des usines ne sont jamais loin et veillent а ce que les ouvriers soient les plus productifs possible. Donnant des avances financiиres aux ouvriers au dйbut de la saison, ceux-ci sont constamment sous pression car s’ils ne peuvent rembourser leur avance, ils sont contraints de revenir la saison suivante. C’est un cercle vicieux dans lequel certains travailleurs sont pris au piиge depuis des dizaines d’annйes. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Les ouvriers touchent un reзu а chaque fois qu’ils viennent d’effectuer un voyage. L’opйration est renouvelйe entre 150 et 200 fois par jour. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travail

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Un homme extйnuй aprиs un йniиme trajet. Faisant de nombreux aller-retour avec parfois plus de 100kg sur le dos, les organismes sont mis а rude йpreuve. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Les trajets sont souvent semйs d’embuches : terrain boueux, pentes, dйbris de briques au sol, rien ne facilite la tвche des porteurs. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Ils travaillent 7 jours sur 7, du mois de novembre а avril, et sont payйs au nombre de briques transportйes ou produites en une journйe. Leur salaire est incertain, dйpend des conditions mйtйorologiques et de la cadence des autres ouvriers. Le tarif en gйnйral appliquй est de 10 USD $ pour 1 000 briques transportйes. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ? L’avenir et la reconstruction du Nйpal sont paradoxalement entre leurs mains.   EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Malgrй le nombre d’ouvriers et leurs efforts considйrables, il n’y a paradoxalement pas un bruit dans l’usine. Accablйs et appliquйs, les travailleurs rйpиtent inlassablement les mкmes tвches dans le silence. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rap

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travaillent de faзon inhumaine ? L’avenir et la reconstruction du Nйpal sont paradoxalement entre leurs mains.   EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous

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Esclaves des briques: la lente reconstruction de la vallйe de Katmandou dйtruite par un tremblement de terre. Les ouvriers touchent un reзu а chaque fois qu’ils viennent d’effectuer un voyage. L’opйration est renouvelйe entre 150 et 200 fois par jour. Lors du terrible tremblement de terre qu’a connu le Nйpal en 2015, plus d’1 million de maisons ont йtй rasйes ou endommagйes. De nombreux temples et sites historiques ont aussi йtй dйvastйs, et 3 ans plus tard, moins de 15% des infrastructures touchйes ont йtй reconstruites. Par consйquent, les besoins en briques de construction sont colossaux et les nombreuses usines du pays dans lesquelles, 200 000 personnes travaillent, tournent а plein rйgime. Ces ouvriers travaillent sans relвche, 7 jours sur 7, dans des conditions inhumaines, et touchent un salaire dйrisoire. Ce sont en gйnйral des agriculteurs pauvres et non qualifiйs qui pendant la saison de 6 mois, sont payйs « а la brique » et vivent sur place dans des abris de fortune. Outre les douleurs au dos causйes par les charges considйrables qu’ils portent а longueur de journйe, les infections respiratoires et oculaires causйs par le charbon et la poussiиre sont leur quotidien. Parmi ces ouvriers, on compte environ 60 000 enfants, capables de porter entre 1500 et 2000 briques par jour. Une brique pesant 4kg, ce sont plusieurs tonnes qu’ils portent quotidiennement sans aucun matйriel pour les aider.   Les patrons de ces usines veillent au grain pour que les ouvriers soient les plus productifs possible. La plupart donnent des avances financiиres aux travailleurs qui ne peuvent pas rembourser et sont alors obligйs de revenir la saison suivante. Nйgligeant totalement les conditions de travail de leurs ouvriers, cette industrie s’apparente а de l’esclavage moderne oщ l’on dйtruit les individus. Dans les prochaines dйcennies, selon les Nations Unies, le Nйpal sera l’un des 10 pays d’urbanisation les plus rapides au monde. Continuera-t-il а exploiter ses ouvriers qui travail

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2017-09-26 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2016-08-25 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2016-07-10 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2015-04-30 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2015-04-28 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2013-03-11 Nй

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Dans la banlieue de Katmandou, des nonnes renversent le bouddhisme traditionnel а grands coups de pieds et font la promotion du fйminisme.  Faisant partie d’une communautй bouddhiste sйculaire de l’Himalaya, les nonnes du couvent Druk Amitabha ont une vision moderne de l’йgalitй des genres et incarnent les prйmices du fйminisme dans la rйgion. En effet, traditionnellement dans la sociйtй bouddhiste, les femmes sont cantonnйes а la mйditation et aux diffйrentes tвches domestiques.  Il n’en est rien pour ces nonnes qui pratiquent quotidiennement le kung-fu. Hormis les avantages significatifs pour la santй spirituelle et physique de ces pratiquants, les nonnes utilisent ce sport pour promouvoir l’йgalitй des genres et faire passer un message d’йmancipation aux femmes de la rйgion.  C’est leur chef spirituel, sa Saintetй le Gyalwang Drukpa qui est а l’initiative de ce changement de codes et qui a dйcidй il y a plus de 10 ans, de mettre les nonnes au kung-fu, mais pas uniquement. Le couvent a depuis vйritablement pour vocation de contribuer activement а l’йmancipation et l’instruction des femmes. C’est ainsi que le couvent s’apparente а une ruche d’activitйs oщ les nonnes apprennent l’йlectricitй, la plomberie, reзoivent des cours d’informatiques, d’anglais ou encore de la comptabilitй. Les nonnes sont de plus investies dans des missions pour la prйservation de l’environnement, l’aide aux plus dйmunis et le sauvetage d’animaux en pйril. А l’heure oщ les femmes sont sujettes а de nombreuses agressions sexuelles et discriminations dans cette rйgion du monde, les « nonnes kung-fu » inspirent des milliers de femmes dans la rйgion et tentent sans relвche de changer les mentalitйs. Jigme Wangchuk Lhamo, 20 ans, nonne du couvent de Druk Amitabha : « Quel gourou, quel bouddha a dit que les femmes sont faites pour la cuisine ? Nous sommes aux 21иme siиcle, nous devons fonctionner avec notre siиcle ». EXCLUSIVE **Special Price** ***Nous contacter pour HD*** 226806 2009-06-12 Nй